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Blanche Gardin

Bonne nuit Blanche

Complet

Sam 15 décembre - 20h30
Dim 16 décembre - 19h00

Durée : 1h20 (AVEC PREMIÈRE PARTIE)

28€ / 23€ / 20€ / 15€ / 10€

HumourRécit

Humour / À partir de 17 ans

«  Puisqu’on est en vie… autant en rire. »

BONNE NUIT BLANCHE met en scène les réflexions existentielles d’une femme de 41 ans luttant avec sa solitude et sa misanthropie.

Avec un rythme effréné, la vivacité d’une merveilleuse actrice et le flirt constant entre douceur, naïveté et impitoyable lucidité, Blanche Gardin émeut, dérange et surprend. Plonger avec elle, sans pudeur, dans les recoins obscurs de son âme est une proposition qu’on ne peut pas refuser quand on aime les acteurs qui osent tout. Son humour singulier est complexe, jamais complaisant. Un voyage sombre et lumineux, hilarant et tragique, tendre et cruel, parce qu’il est urgent de rire ensemble des complications que l’existence nous jette bien trop souvent à la gueule.

Blanche Gardin, comme d’autres en leur temps, invente un genre ! Elle dynamite les idées reçues et les codes de « l’humour », ça couine, ça grince, ça joue avec les mots et ça pousse très loin le bouchon. On en ressort groggy et réjouit par tant d’intelligence et d’audace.

facebook.com/blanchegardin


Première partie – Harold Barbé

Dans la pure tradition du stand-up américain, Sous Pression parle de la vie, de la mort, de l’amour et de légumes. C’est un défouloir thérapeutique et cathartique pour comique maniaco dépressif.

facebook.com/haroldbarbhey

Distribution

Production

Distribution

Auteur et interprète Blanche Gardin
Mise en scène Maïa Sandoz

Visuel © Arno Lam

Production

Production Azimuth en accord avec White Spirit et Labarakatarte

  • "Chez Blanche, la blague indécente est une voie pudique d’expression de soi, l’occasion d’expurger son rapport compliqué au monde." Libération
  • "Découvrir sur scène Blanche Gardin, c’est prendre une crampe dans les mâchoires, tant on rit." Le Monde
  • "Une franchise hilarante et une intelligence rare." Le Parisien Magazine
  • "Le contraste entre la crudité des mots et l’ataraxie désenchantée de la locutrice est dérangeant et hilarant." Télérama